La transformation numérique des entreprises s’étant accélérée avec le Covid, le métier de développeur, appelé aussi Software Engineer, est plus que jamais sous le feu des projecteurs. Dans une fintech comme Dalenys, où la proposition de valeur repose sur la technologie de sa plateforme de paiement depuis sa création, la filière tech est essentielle. Nous vous proposons à l’occasion de la journée mondiale des développeurs 2021, une immersion au sein de notre équipe pour mieux comprendre leur métier, leurs défis et ce qui les anime au quotidien. Nos développeurs Romain, Oussema, Paul, Zdravko et Abdelhakim nous font part de leur retour d’expérience.
Une organisation en « squads » autonomes
Les missions d’un Software Engineer chez Dalenys consistent principalement à transformer des besoins fonctionnels en solutions techniques, et à assurer le bon fonctionnement des plateformes de la fintech. La solution de paiement Dalenys, dédiée aux grands noms du e-commerce et du digital, compte des clients tels que Veepee, Maisons du Monde, Interflora ou Kiwi.com, et se doit d’être à la fois robuste, performante et innovante.
Pour y parvenir, les développeurs ainsi que le product owner et le quality analyst sont organisés en petites équipes autogérées appelées « squads », dans le cadre la méthode agile. « Lightbox », « Stargate », « Backtothefeature », « Suicide-Squad », “The Hobbytes”, “Go Horses of Rohan”… Ces drôles de noms, choisis par les développeurs eux-mêmes pour désigner chacune des squads, composent le tech lab Dalenys.
Romain fait partie de la Squad « Lightbox ». Il s’agit d’une équipe full stack, c’est-à-dire qui travaille à la fois en backend et en frontend.
« Le côté full stack de la Squad était quelque chose que je n’avais jamais essayé auparavant. C’est une bonne opportunité pour découvrir un peu plus la partie Front office. Je travaille également sur certaines API de la plateforme ainsi que sur Cockpit, notre nouvelle interface web unifiée. Mes missions sont très diversifiées. »
Le tech lab est donc piloté par la « méthode agile » depuis plusieurs années.
« Avec cette méthode de travail, les changements à faire sont plus courts et c’est plus rapide, on peut livrer sous une semaine (par rapport à la méthode cycle en V, ndlr). Ça nous permet d’avoir un découpage plus fin des besoins métier, attribuable à des équipes en petit nombre. Ce qui change c’est principalement le temps qu’on va mettre pour concevoir, tester, mettre en service une fonctionnalité, et surtout la possibilité d’accepter des changements en cours de route. » explique Zdravko
Un environnement en pleine évolution, avec la transformation de la plateforme et le passage au cloud computing
La plateforme technique de Dalenys est en pleine période de transition, avec un process de reverse engineering en cours. Il s’agit de passer tout l’écosystème de données (stack) vers les nouvelles applications appelées « Discovery », pour proposer des solutions plus performantes et réactives. « On passera d’une architecture centralisée et rigide, vers une architecture orchestrée en micros-services plus flexible, ce qui améliorera grandement la maintenabilité et l’évolutivité de la plateforme » explique Zdravko.
« Comme la plateforme est en phase de refonte technologique, cela impose beaucoup de défis aux équipes. C’est très intéressant pour moi car j’aime bien travailler sur différents niveaux de développement, qui demandent des compétences variées. J’ai la liberté de pouvoir proposer des solutions, et de convaincre de leur pertinence. » complète-t-il.
Le saviez-vous ? En termes de technologies, le champ des possibles est vaste chez Dalenys ! Le tech lab utilise une longue liste de langages et autres technos : MongoDB, GKE (Google Kubernetes Engine), Java, Nifi, Google Cloud Platform, Git, Airflow, Python, scala, Maria DB, PHP, RabbitMQ, Cloud Composer, Terraform…
Autre sujet d’envergure qui occupe une partie du tech lab : Dalenys a choisi d’héberger ses applications sur la plateforme cloud de Google.
« L’avantage de ce modèle chez Dalenys, explique Paul, c’est que le cloud nous permet de "scaler" plus facilement la plateforme, de la rendre plus performante, de délivrer plus vite des fonctionnalités, de réduire les coûts, et de rendre le développeur plus autonome sur la livraison de fonctionnalités. »
« Avant le cloud, c’était le « On Premise ». Aujourd’hui, avec le Cloud, c’est le fournisseur qui s’occupe de la gestion des machines, ce qui permet à l’entreprise de se concentrer sur son cœur de métier. » ajoute Abdelhakim.
En tant que Senior data engineer dans le tech lab de Dalenys depuis janvier 2021, Abdelhakim participe à la conception du nouveau « datalake » de Dalenys dans le cloud (système centralisé de stockage et exposition des données qui proviennent de différentes sources). Le datalake regroupe les données de deux plateformes qui coexistent en ce moment chez Dalenys.
En parallèle, il faut continuer à faire vivre le datalake existant, effectuer la migration vers le nouveau datalake, et centraliser les données de la production dans le cloud pour répondre aux besoins des différents métiers.
Quels que soient les sujets de nos développeurs, la finalité est la même pour tous : « Garantir la performance auprès des clients, car cela permettra aux clients de faire plus de transactions », résume Oussema.
« Le secteur des fintechs propose de nombreux challenges pour les profils techs »
Faut-il être passionné pour être un bon développeur ? Peut-être pas nécessairement, mais force est de constater qu’il s’agit d’un moteur important chez beaucoup d’entre eux. « J’ai choisi ce métier par passion. J’aime aussi le côté créatif du métier, avoir la satisfaction d’implémenter des fonctionnalités et de les voir utilisées en production. » déclare Paul. « C’est particulièrement le cas chez Dalenys car le secteur des fintechs propose de nombreux challenges pour les profils techs, avec des enjeux de sécurité, de disponibilité, de performance », ajoute-t-il.
Pour Oussema : « Ce qui me fait vibrer chez Dalenys c’est qu’on est au cœur du paiement, il y a de la technologie, et des projets impactants, comme Java MongoDB ».
Les qualités requises pour être un bon développeur sont en tout cas résumées ainsi par Romain : « Un bon esprit d’analyse et de logique est nécessaire dans ce métier pour traduire un besoin en code. Le monde technique évolue très vite, il est donc important d’être curieux et de se tenir informé de ces évolutions. »
Profil et perspectives pour un développeur en 2022 ?
Un développeur a de nombreuses évolutions possibles :
- Architecte : une position transverse orientée sur la conception et l’évolution des solutions techniques de l’entreprise
- Manager / Team Leader : une orientation plus managériale sur l’encadrement d’une équipe de développeurs.
- et bien d’autres opportunités, comme aller vers la méthodologie (Agilité, Sage), DevOps, Analyste Technique, Automation QA, ...
« Au sein de l’équipe Dalenys, il y a assez d’ouverture pour occuper d’autres responsabilités » selon Zdravko. « Un développeur peut devenir scrum master ou concepteur et devenir product owner s’il a assez de connaissances du métier. »
Pour exemple, Romain est passé par différents postes au sein de l’entreprise : développeur pendant un an dans l’équipe support de la plateforme, chef de projet technique pendant 3 ans, et aujourd’hui développeur et scrum master depuis 2 ans.
Pour en savoir plus, regardez également le témoignage de Guillaume Partenet, notre Engineering Director ainsi que d’autres témoignages de nos collaborateurs sur notre page LinkedIn https://www.linkedin.com/company/dalenys/life/fr/.
Et n’hésitez pas à visiter notre page Welcome To the jungle pour plus d’informations sur nos offres d’emplois.